Weka.jobs, le nouvel allié des professionnels de la fonction publique

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Bien plus qu’une refonte, cette transition vise à enrichir le réseau de l’emploi public de la puissance des Éditions WEKA.

S’inscrire dans le sillon de la marque WEKA, c’est s’appuyer sur la force et la notoriété d’un acteur historique, évoluant depuis 40 ans auprès du secteur public. Les membres de weka.jobs accèdent désormais à une audience décuplée en s’adressant à l’ensemble du réseau WEKA, rassemblant 120 000 professionnels de la fonction publique.

La bascule vers weka.jobs se fait en toute simplicité : les membres du réseau Étoile n’ont pas à intervenir et les fonctionnalités qui font la force du réseau sont conservées.

Le nouveau service Weka.jobs accompagne ses membres tout au long de leur carrière :

 

  • Mobilité professionnelle : weka.jobs propose d’activer son profil professionnel et de créer des alertes emploi personnalisées pour être visible des recruteurs, postuler directement et rester en veille sur toutes les opportunités ;
  • Réseau : les membres retrouvent leurs contacts professionnels, étoffent leur réseau sans limite d’ajout de contacts ni d’envoi de messages et échangent avec des professionnels et experts du secteur public ;
  • Actualités et Conseils carrière : jobs met à disposition des outils pour booster sa carrière dans la fonction publique (conseils, innovations RH, interviews de recruteurs) ;

 

C’est un plaisir et une fierté pour nous d’offrir à nos membres un champ de possibilités plus large, dans le souci constant d’améliorer notre service et de le faire évoluer en fonction de leurs besoins.

 

Cette refonte s’inscrit dans une démarche plus globale engagée par WEKA pour continuer d’accompagner au mieux les professionnels de la fonction publique dans leurs missions et leur quotidien, en leur apportant ressources, solutions et conseils. Nous sommes fiers d’être aux côtés des acteurs publics depuis 40 ans et avons à cœur de nous adapter pour répondre à leurs enjeux en déployant une offre globale, innovante et interactive.

Découvrez la globalité de nos services ainsi que les actualités de notre entreprise sur weka-service-public.fr.

Communication non violente : libérez la girafe qui est en vous

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La Communication NonViolente, méthode conceptualisée dans les années 70 par Marshall B. Rosenberg, s’appuie sur une idée : permettre à chacun « d’entrer en contact avec ses besoins profonds pour mieux communiquer, en laissant libre cours à sa bienveillance naturelle », explique le psychologue dans Psychologies.

 

Dans ses ouvrages, il convoque l’image de la girafe, dont le long cou lui permet de prendre de la hauteur, par opposition à celle du chacal, qui montre ses dents dès que quelque chose lui manque. Mais pour lui, nous ne sommes pas girafe ou chacal : « le chacal est juste une girafe qui a des problèmes de vocabulaire », explique-t-il. Autrement dit : tout le monde aurait un fond bienveillant… Que la CNV peut aider à révéler.

 

Empathique comme une girafe

 

«Connais-toi toi-même». Les Grecs le disaient, la CNV s’en sert de base : pour bien communiquer, il faut d’abord identifier ses propres besoins et sentiments. Pour Delphine Bardon, formatrice en communication non violente, l’objectif est de débusquer le chacal qui se cache dans nos mots : où sont les jugements de valeur, les interprétations ? Et les autres : quels sont leurs besoins, qu’expriment-ils derrière leurs mots parfois abrupts ? Pour chaque message à faire passer, Rosenberg propose une méthode en quatre étapes : observer la situation sans la juger, comprendre et exprimer ses sentiments puis ses besoins, et formuler une demande.

 

Pour explorer la Communication NonViolente

 

La méthode CNV, par la finesse d’analyse qu’elle nécessite, demande de la pratique ; mais s’en inspirer reste passionnant pour qui est adepte de psychologie. Pour en savoir plus, écoutez l’interview Delphine Bardon sur France Bleu. Puis plongez-vous dans Les mots sont des fenêtres (ou bien ce sont des murs) de Marshall B. Rosenberg, ou dans des livres d’adeptes de la CNV comme La Communication NonViolente pour les nuls ou Pratiquer la CNV au travail. Avec tout ça, vous ne deviendrez peut-être pas girafe, mais aurez au moins quelques outils pour allonger un votre cou au travail !

 

Julie Desbiolles

Nos 5 conseils pour avoir de la répartie en entretien !

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1 – Un entretien, ça se prépare !

 

Même s’il est parfois difficile d’anticiper les questions et réactions de notre interlocuteur, un entretien, à la manière d’un examen oral, se travaille en amont. Pas question de s’y présenter sans être incollable sur l’entreprise et le poste pour lequel vous vous présentez. Votre recruteur ne pourra être qu’impressionné par votre sens du travail et votre confiance en vous n’en sera que boostée. Cela vous aidera à adopter la bonne posture, à poser vos arguments de la bonne manière et à aiguiser votre répartie.

 

2 – Ne pas se laisser impressionner

 

Dites-vous toujours que, si vous avez besoin de ce poste, votre recruteur a également besoin d’un employé compétent pour l’occuper. Chacun ayant quelque chose à apporter à l’autre, il est essentiel de ne pas se laisser impressionner ; ou du moins de ne pas trahir ce sentiment qui, avouons-le, est tout à fait naturel. Encore une fois, la confiance en vous est primordiale et il est important que vous ayez conscience de l’atout que vous pourriez représenter pour votre employeur. Ainsi, il sera plus simple pour vous de les mettre en avant, sans pour autant trop en faire. Il s’agit d’appréhender l’entretien d’embauche comme une conversation, où chacune des parties expose ses atouts et ses besoins et tente de trouver un terrain d’entente.

 

3 – Faire attention au body language

 

Le body language est l’expression de nos sentiments par notre corps. Savoir maîtriser ses réactions physiques est un point essentiel à votre réussite lors d’un entretien d’embauche. Voici quelques exemples de posture à ne pas adopter :

  • Croiser les bras ; Croiser les bras signifie que vous êtes fermé ou que vous vous auto-étreignez afin de réduire votre stress. Dans les deux cas, cette position n’indique rien de bon à votre futur employeur et risque de vous décrédibiliser. Forcez-vous à poser vos mains sur la table de façon naturelle, sans être trop crispé, adoptant ainsi une posture ouverte et tournée vers votre interlocuteur
  • Être avachi sur son siège ; Il est important que votre manière de vous asseoir ne soit pas synonyme de désinvolture. Le mieux est de vous tenir droit, sur le bord de votre chaise, tourné vers le recruteur.
  • Les tics trahissant l’anxiété ; Se ronger les ongles, mordiller son stylo, tapoter sur la table ou faire bouger sa jambe frénétiquement… Chacun de ces mouvements automatiques trahissent d’un malaise, d’un stress et pourra faire penser à votre futur employeur que vous avez tendance à paniquer lorsqu’une situation complexe se présente à vous. Tentez ainsi de maintenir le regard avec votre interlocuteur et de vous concentrer sur ses paroles ainsi que sur vos qualités afin de vous rassurer, et ces gestes disparaîtront d’eux même !

 

4 – Avoir un discours clair

 

L’éloquence est sans doute l’un des points les plus importants lors d’un entretien. Si vos mots ont séduit votre employeur lors de la lecture de votre CV et de votre lettre motivation , il s’agit maintenant de vous exprimer oralement, ce qui constitue un tout autre exercice. Bien que vous ayez peu de temps et beaucoup de choses à dire, il est essentiel de ne pas presser sa parole et d’adopter un ton de voix calme, ne trahissant jamais votre angoisse. Ne coupez pas la parole à votre interlocuteur, attendez patiemment votre tour et exprimez-vous. N’attendez pas que les questions viennent à vous ! Il s’agit d’allier la retenue avec la mise en avant subtile de vos atouts. Or, si les questions du recruteur ne vous dirigent pas sur cette voie, n’hésitez pas à y répondre tout en glissant des éléments sur votre parcours ou en valorisant vos qualités.

 

5 – Se lancer !

 

Enfin, le dernier conseil, et pas des moindres est simplement de vous faire confiance et de vous lancer ! Si vous avez postulé et si l’on vous a rappelé, c’est que vous méritez votre présence à cet entretien et probablement au poste qui vous intéresse ! Ainsi, ayez confiance en vos qualités et en votre légitimité, vous n’en serez que plus performant et votre répartie viendra naturellement. Bon courage !

 

Rappelez-vous que la confiance en soi est la clé, et vous surmonterez l’épreuve de l’entretien sans effort !

Qui sont les fonctionnaires attirés par une expérience dans le privé ?

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En 2017, les agents de la fonction publique d’Etat (FPE) ont été les plus nombreux à saisir la Commission de déontologie de la fonction publique. Cette commission examine les dossiers des fonctionnaires choisissant d’exercer une activité privée lucrative. Cela en quittant définitivement ou provisoirement la fonction publique ou en créant ou reprenant une entreprise en conservant leur emploi au sein de la sphère publique.

C’est ce qui ressort du premier rapport réalisé par cette instance à la suite de la loi du 20 avril 2016 relative à la déontologie et aux droits et obligations des fonctionnaires. Publié à la mi-janvier 2019 par la DGAFP, ce document montre que la commission a rendu 1 170 avis (+9%) à la suite de saisines émanant de personnels des services de l’Etat. La mobilité vers le secteur privé semble un peu moins attirer les agents des collectivités : la Commission n’a émis que 944 avis (-11%) concernant leurs déclarations. En outre, la Commission a rendu seulement 577 avis (-47%) sur des dossiers déposés par des agents de la fonction publique hospitalière (FPH).

 

7 216 dossiers reçus en 2017

 

Avec un total de 7 216 dossiers reçus et 2 691 avis rendus entre février et décembre 2017 (le mois de janvier 2017 ayant été analysé dans le rapport annuel 2016), la Commission de déontologie de la fonction publique a connu une activité soutenue. Dans le détail, le rapport montre qu’un peu moins de 80 % des déclarations soumises à l’avis de la Commission correspondent à des demandes de cumul d’activités.

Un rapport qui permet également de mettre en évidence les différents profils des agents publics intéressés par une carrière – totale ou partielle, provisoire ou définitive – dans le secteur privé. Au sein de la FPE, ce sont les agents de catégorie A qui représentent la plus forte proportion (70%) de ceux qui saisissent la Commission. Les saisines les plus nombreuses émanent des ministères de l’Education nationale, de l’Economie et de l’Intérieur. A noter que seulement 18,5% des saisines des agents de l’Etat sont le fait de personnels de catégorie B et 10,5% de catégorie C.

 

Agents territoriaux de catégorie C les plus nombreux

 

La même tendance est observée dans la FPH où une majorité des demandes provient de personnels de catégorie A (48,2%), alors que pour les catégories B et C, les saisines sont moins nombreuses (respectivement 25,5 % et 25,2%). La situation est, en revanche, très différente au sein de la territoriale. Dans les collectivités, ce sont, en effet, les agents de catégorie C qui sont les plus nombreux (60,5%) à solliciter l’avis de la Commission de déontologie de la fonction publique. Le passage vers le privé semble nettement moins tenter les personnels territoriaux relevant des catégories B et A (respectivement 20,4% et 17,3% des saisines). On observe, en outre, que c’est auprès des agents des communes et des CCAS que le privé exerce l’attrait le plus fort (45% des saisines).

 

Emmanuelle Quémard

Comment aborder sa candidature spontanée ?

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1 – Ciblez votre entreprise et votre interlocuteur

Votre première étape dans votre démarche de candidature spontanée est de cibler les organismes qui vous attirent, et leur interlocuteur. Cette structure vous intéresse vraiment ? Ce poste est la prochaine grande étape de votre carrière ? Dans ce cas il faut parler à la bonne personne pour décrocher un entretien. C’est dans cette démarche qu’un réseau professionnel peut vous venir en aide.

Lorsqu’une adresse mail contact est parfois votre seule solution, un réseau tel que Communauté Etoile peut vous permettre d’ajouter l’agent en charge du recrutement dans votre réseau, et ainsi, de le contacter personnellement dans la foulée. De plus, il ne faut pas hésiter à solliciter votre réseau. Un réseau professionnel correctement construit avec beaucoup de contacts dans des entreprises/domaines différents peut vous permettre de décrocher des rendez-vous que vous n’auriez jamais obtenus en passant par les chemins classiques. Ne sous-estimez pas le pouvoir du réseau professionnel !

 

2- Consultez les autres offres de l’organisme ciblé (entités publiques ou entreprises)

 

Consulter les différentes offres de l’entreprise est une étape cruciale dans votre recherche spontanée d’emploi. Il se peut tout d’abord que le poste que vous recherchez vous ait échappé dans votre recherche d’emploi et dans ce cas, nul besoin d’envisager la candidature spontanée. Il est également possible de trouver d’autres postes qui correspondent à votre profil ou bien d’anciennes offres en relation avec le poste visé. Les anciennes fiches de poste sont une véritable mine d’or pour vous ! Elles sont pleines d’indices sur ce qu’attendent les recruteurs et vous permettront aussi de contrer les logiciels de tri de CV en incluant les différents mots-clés qui intéressent l’organisme.

 

3- Ne postulez pas pour un job, postulez à un poste !

 

La principale erreur dans votre démarche de candidature spontanée est de ne postuler à aucun poste en particulier. Si vous adressez un mail trop vague, indiquant simplement que vous recherchez un poste, vous diminuez vos chances de séduire le recruteur. Il est donc important de cibler le poste ou la mission particulière qui vous intéresse pour ainsi, montrer au recruteur pourquoi vous serez le bon choix pour cet emploi.

 

4- Soignez votre message de candidature spontanée !

 

Une fois que vous avez déterminé l’organisme/l’entreprise à cibler, la personne à contacter et le poste que vous souhaitez obtenir, il est temps d’entrer en contact avec cette personne. Votre message doit donc être unique et ne pas laisser ressentir un simple « copier/coller » envoyé à des dizaines de recruteurs.

Laissez place à la créativité mais aussi aux différents codes que l’on retrouve dans les processus de recrutement habituels. Phrase d’accroche, pas de fautes d’orthographe, compétences en avant etc… votre but principal n’est pas de décrocher directement un contrat mais plutôt une attention du recruteur qui vous mènera à l’entretien au cours duquel vous pourrez faire vos preuves. Pour cela, il est tout à fait possible de mentionner dans votre message votre envie d’obtenir un entretien et ce qui, par la suite, vous mènera à un suivi de votre candidature.

Misez sur vos compétences ! S’il n’y a pas de poste ouvert et que vous procédez à une candidature spontanée il faut susciter l’intérêt auprès du recruteur. Misez sur vos points forts et votre expérience pour décrocher un premier entretien !

 

5- Suivez votre candidature

 

Votre message est envoyé. Il faut maintenant effectuer un bon suivi de votre candidature. Comme indiqué dans votre message, vous recherchez un entretien et vous avez proposé à votre recruteur une rencontre. La principale erreur serait donc de ne pas le relancer. Prévoyez pour commencer une relance écrite, en laissant un délai raisonnable après envoi de votre candidature.

Faute de poste disponible, il se peut que votre candidature tombe dans la boîte mail de votre recruteur sans retour. Après une relance écrite, certains candidats prennent l’initiative d’appeler le recruteur. Cette pratique est globalement appréciée car elle permet de se démarquer des autres candidats. Trop peu osent le faire et passer un simple coup de fil interrogeant sur la bonne réception de votre candidature peut vous permettre de revenir au premier plan.

Grâce à ces différents conseils, vous êtes désormais prêt pour candidater spontanément de la bonne façon. Visez au bon endroit, au bon moment et décrochez potentiellement l’emploi dont vous avez toujours rêvé !

7 conseils pour organiser sa recherche d’emploi

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1- Préparez un plan pour votre journée de prospection d’emploi !

 

En effet, cela peut paraître simple mais une journée de prospection doit s’opérer comme une journée de travail. Il faut s’organiser et ne pas perdre de temps car des annonces peuvent apparaître tout au long de la journée.
Planifiez votre temps et vos tâches. Gardez du temps pour de la prospection, rédaction de lettre de motivation, élargissement du réseau etc. Répartissez équitablement votre temps selon les horaires de bureaux (9h-19h) et installez-vous de préférence dans un endroit propice au travail.

 

2- Trouvez un environnement propice au travail

 

Café, canapé, bureau, bibliothèque, espace de coworking, les possibilités sont infinies pour travailler et il en est de même lorsque vous recherchez un emploi. Votre unique besoin : une connexion internet. Il vous reste à déterminer l’environnement dans lequel vous êtes le plus à l’aise. La distraction d’un café peut être un frein pour certains comme une motivation pour d’autres qui préfèrent travailler avec de l’activité autour d’eux.

 

3- Enrichissez et redorez le blason de votre CV

 

Le point de départ de votre recherche d’emploi est votre CV. Que vous veniez de quitter votre précédent job où que vous soyez un jeune diplômé à la recherche du premier, il y a fort à parier que votre CV n’est pas tout à fait à jour ou qu’il ne réponde tout simplement plus aux codes actuels attendus par les recruteurs. En effet, les CVs et leur présentation/contenu évoluent constamment et suivre ces mouvances tout en se démarquant des autres candidats est, sans aucun doute, l’équation gagnante pour s’assurer un entretien. Axer correctement votre contenu, c’est aussi s’assurer de répondre aux bonnes offres et d’ainsi optimiser votre taux de réponse de la part des recruteurs. Pour en savoir plus sur l’optimisation de votre CV, découvrez nos différents conseils à ce sujet !

 

4- Adaptez votre lettre de motivation !

 

Une offre en vue ? Une lettre de motivation, complémentaire à votre CV, sera la bienvenue. Finies les lettres génériques que les recruteurs reçoivent par centaines. Il faudra adapter votre lettre en fonction de l’offre et de votre profil. L’idée est d’y présenter votre expérience et la plus-value que vous apporterez à l’organisme qui cherche à recruter. Pourquoi vous ? Pourquoi ce poste vous correspond-t-il ? Autant de questions auxquelles il vous faudra répondre pour tenter de séduire les recruteurs et décrocher un entretien. Découvrez notre article entièrement consacré aux différents points clés pour optimiser votre lettre de motivation !

 

5- Construisez votre réseau

 

Autre point important dans sa recherche d’emploi : la construction du réseau. Il ne faut pas délaisser cet aspect car, désormais, votre quête d’emploi passe par le fait de trouver mais aussi d’être trouvé. Pour cela, différents outils sont à votre disposition. N’hésitez pas à ajouter différentes personnes de l’industrie qui vous concernent, postez des messages indiquant que vous êtes ouvert et à l’écoute du marché etc…
Un réseau comme Communauté Etoile vous aide à développer votre visibilité auprès des interlocuteurs qui vous concernent. Construisez directement un réseau professionnel qui vous importe et maximisez vos chances de trouver un emploi, dans le secteur qui vous intéresse !

 

6- Enrichissez votre profil

 

Une fois votre présence sur le réseau adapté, vous devrez construire et enrichir votre profil. L’avantage de cette technologie est qu’elle vous permet d’intégrer beaucoup plus d’éléments que sur votre CV. C’est une sorte de base de données de vos compétences et de vos accomplissements. Tout ce qui est pertinent doit donc être renseigné : coordonnées, missions, expériences, compétences, projets personnels avec de la valeur ajoutée, langues, études etc…. N’omettez rien de pertinent et misez sur vos atouts pour vous rendre visible des recruteurs !
Epingler votre CV en plus de votre profil peut également être un atout à exploiter.

 

7- Inscrivez-vous aux différentes alertes job

 

Dans les nouveaux modes de recrutement, tout va plus vite. Les recruteurs postent une annonce et reçoivent des demandes dans la minute. Il faut donc être prêt et attentif aux nouvelles demandes. S’inscrire à des newsletters, mettre en place des alertes, notifications etc… vous permettra de ne rater aucune mise en ligne d’annonce et d’augmenter vos chances en faisant partie des premiers à postuler !

Grâce à ces différents conseils, vous êtes désormais prêt à mener une recherche d’emploi pleine de réussite !

Chargé(e) de l’exécution financière et comptable

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Le métier de chargé(e) d’exécution financière et comptable est présent dans toutes les administrations publiques et les collectivités territoriales. Expert de la comptabilité publique, il contrôle et assure les dépenses de sa structure (Etat, collectivités territoriales ou établissements publics). Bien sûr, la rigueur et la méthode sont indispensables. Mais il n’est pas rare que le chargé d’exécution financière et comptable soit aussi force de conseils auprès de l’ensemble des services gestionnaires, inclus ainsi dans une démarche très transversale.

 

La révolution numérique a eu lieu

 

Sa tâche principale vise à veiller à l’application de la réglementation budgétaire en matière d’encaissement des recettes, d’engagement des dépenses mais également d’exécution des marchés publics. Ces vingt dernières années, internet a révolutionné le métier. La chaîne comptable est désormais entièrement informatisée et, depuis le 1er janvier 2019, toutes les pièces administratives sont soumises aux règles de la dématérialisation. Des progiciels de gestion financière assurent l’engagement des dépenses et l’inscription des recettes. La totalité des justificatifs (factures, arrêtés, marchés…) et des mandats sont dématérialisés et transférés, après contrôle, au payeur à travers des flux sécurisés. La paperasse, c’est bel et bien fini !

 

Un travail essentiel à la prise de décision des élus

 

Son rôle est de suivre de très près les données du logiciel de gestion financière dans le but d’établir des tableaux de bord ou tout autre outil facilitant l’analyse budgétaire et traduisant les « tendances ». Un travail essentiel à la prise de décisions des décideurs et des élus. Chaque trimestre, l’évolution des taux d’exécution par rapport aux prévisions engagées dans le budget primitif est suivie de près, pour ajuster le budget au fur et à mesure. C’est face à ces courbes-là que l’évolution de certains postes, comme l’affectation de certaines aides sociales, non-maîtrisables, sont facilement détectées.

 

Quelles sont les qualités pour exercer un tel métier ?

 

Il faut connaître, entre autres, les procédures d’engagement, de liquidation, de mandatements comptables ; maîtriser les nomenclatures comptables ; savoir analyser les tableaux de bord ; et avoir le sens de l’anticipation pour alerter sur certaines évolutions.

 

Formation initiale et complémentaire

 

Pour devenir chargé d’exécution financière et comptable, une formation d’agent comptable ou en lien avec l’acquisition des notions générales de comptabilité est indispensable. Une formation initiale qui est confortée par des modules de formation en comptabilité et en commande publique. A noter que certains masters et formation en bac+5 proposent des enseignements en finances publiques. La plupart des postes ouverts le sont en catégorie B.

 

Comment accéder à ce métier ?

 

Concours externe et interne avec conditions de diplôme et/ou examen d’intégration en fonction du cadre d’emplois, concours troisième voie.

 

Stéphane Menu

Comment rédiger une lettre de motivation efficace ?

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1 -Pourquoi faire une lettre de motivation ?

 

Cette question peut paraître simple, mais elle est pourtant cruciale avant d’entrer dans les différents éléments qui composent la rédaction de votre lettre. Votre lettre de motivation ne doit pas être une corvée. Elle doit servir à exprimer ce que vous n’avez pas pu dire dans votre CV, vous valoriser et vous différencier des autres candidats. Votre lettre de motivation doit être considérée comme un atout, un plus qui ne pourra vous desservir, alors ne passez pas à côté !

 

2 – Se poser les bonnes questions

 

Avant d’entrer dans la rédaction de votre lettre, vous pouvez facilement mettre en forme les idées cruciales de celle-ci en vous posant simplement 3 questions.

• Pourquoi allez-vous postuler ?
• Correspondez-vous au poste ?
• Qu’allez-vous apporter à l’entreprise ?

Autant d’éléments qui par la suite vous permettront de dégager les grands axes de différenciation que l’on retrouvera dans le corps de votre lettre. Dans votre première partie, il s’agit de montrer votre intérêt pour la structure et les ponts entre votre parcours et le poste qui vous intéresse. Cela vous poussera ensuite à décrire vos expériences, toujours en tentant de prouver aux recruteurs qu’elles ne sont pas anodines et qu’elles contribuent à faire de vous le candidats idéal. Enfin, dans une dernière partie, n’hésitez pas à parler de vous de façon plus personnelle (sans trop en faire, bien entendu) et de mettre vos qualités humaines en avant, car une équipe, ce n’est pas que des diplômes et des expériences professionnelles, mais bien un ensemble de collègues avec leur personnalité bien à eux.

 

3 – Est-elle obligatoire ?

 

Comme nous l’avons expliqué dans notre article consacré à l’élaboration de votre CV, la lettre de motivation est de moins en moins demandé par les recruteurs. Il n’empêche qu’elle peut constituer une véritable plus-value à votre demande d’emploi et peut faire la différence entre vous et des dizaines d’autres candidatures ne contenant qu’un CV. A vous de voir, donc, si cet ajout est pertinent dans votre recherche et dans votre dossier de candidature.

 

4 – Quelle forme doit-elle prendre ?

 

Si de plus en plus de candidats osent le CV décalé (en format vidéo ou sur différents supports), la lettre de motivation prend généralement une forme plus classique. Sans excéder une page, elle doit, en quelque mots, dire ce que votre CV ne dit pas : pourquoi avez-vous choisi cette voie, qu’est-ce qui vous passionne dans votre corps de métier etc. Il est important de valoriser son contenu : ainsi, nous recommandons une mise en forme simple, ne brouillant pas la vision de son lecteur qui n’aura qu’à s’attarder sur votre plume et non sur votre sens de l’esthétique.

Ainsi, vous êtes sûr de mettre toutes les chances de votre côté et d’attirer l’attention de potentiels recruteurs, vous plaçant en tête de peloton dans la course à l’emploi de vos rêves !

« Les élus doivent entrer dans l’arène » – Interview de Florence Feunteun

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Vous êtes élue, coach et fonctionnaire territorial. Quels sont les liens entre ces divers métiers ?

 

Ils sont naturels… Je travaille au Conseil départemental du Var, en qualité de chargée d’études sur les programmes européens. Par ailleurs, je suis élue à la mairie de Toulon, adjointe au maire chargée du personnel et de la démocratie de proximité. C’est forte de cette double expérience que j’ai voulu me lancer dans l’aventure du coaching, à travers mon entreprise PasserElle (1), ayant une connaissance assez fine à la fois de l’attente des élus et des agents.

 

Quel type de conseils leurs prodiguez-vous ?

 

Pour les élus, la découverte de l’univers des collectivités territoriales n’est jamais simple. Ils pensent pouvoir agir vite mais il existe des règles contraignantes à respecter. C’est donc pour cette raison qu’il est nécessaire de mener des séances de coaching où la manière de faire des élus et des agents doit être en permanence réinterrogée. Le fait que je sois une femme est un atout, je suis convaincue qu’il existe une approche féminine de l’action publique, et mon rôle est aussi de permettre à un cadre territorial d’affirmer son leadership, de défendre sa vision de l’action publique, surtout si le contexte est difficile.

 

Dans le contexte actuel, les élus subissent une pression forte et il leur est difficile d’imposer leurs points de vue…

 

Peut-être que longtemps les élus ont considéré qu’il n’était pas nécessaire de rentrer dans l’arène, que les règles du jeu de l’action publique étaient trop difficiles à expliquer et que les citoyens auraient forcément du mal à les comprendre. Ce temps est révolu. Être élu, c’est expliquer en permanence le sens de son action à ses concitoyens. En jouant franc-jeu, en expliquant les difficultés plutôt qu’en les maquillant. Ce langage de vérité, il faut savoir le tenir et c’est sur ce segment que je travaille avec les élus.

 

Stéphane Menu

 

(1) PasserElle, [email protected]

 

 

 

Le conseil de l’interviewée

« J’aime faire confiance aux autres »

« J’ai du mal à rester les deux pieds dans le même sabot. J’ai une passion vive pour l’intérêt général qui remonte à longtemps. Pour moi, l’action publique, c’est l’humain. J’aime faire confiance aux autres. Si non, je recule »

 

Rédiger un CV efficace : les réponses à toutes vos questions

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1 – Le CV est-il obligatoire pour entrer dans la fonction publique ?

 

Vous avez réussi vos concours et êtes ainsi admissible à un poste dans la fonction publique. Cependant, comme pour le secteur privé, vous devez, vous aussi, passer par la case CV. Votre CV doit faire office de passeport professionnel : il démontre vos envies à travers votre parcours et la plus-value que vous pourriez représenter pour votre future équipe. N’hésitez ainsi pas à mettre en avant vos qualités telles que la pratique d’une certaine langue ou la maîtrise d’un logiciel, votre candidature n’en sera que valorisée !

 

2 – Dois-je rester simple dans l’élaboration de mon CV ou, au contraire, jouer la carte de l’originalité ?

 

Chaque candidat ayant sa propre personnalité, il est difficile de concevoir qu’un recruteur puisse recevoir une pile de CV quasi-identiques… Et pourtant ! Souvent frileux et désireux de plaire au plus grand nombre, les postulants n’osent que très rarement tenter de se détacher du lot. Pourtant, pour marquer les esprits, un parcours scolaire et professionnel brillant ne suffit pas toujours. Sachez qu’en moyenne, un recruteur ne “lit” un CV que 15 secondes et qu’il n’aura donc peut-être même pas eu le temps de s’attarder sur votre histoire, passant potentiellement à côté d’un candidat intéressant. Ainsi, sans tomber dans l’excès, il demeure essentiel de faire ressortir vos goûts dans la mise en forme de votre CV afin de vous démarquer de vos nombreux concurrents.

 

3 – Est ce que toutes mes expériences professionnelles doivent figurer dans mon CV ?

 

La première chose à prendre en compte est qu’un CV ne doit pas dépasser une page. Or, comment résumer sa vie professionnelle sur un format si court ? La réponse est simple : il est essentiel de cibler les informations que vous souhaitez transmettre à votre recruteur en fonction du poste pour lequel vous candidatez. Vous souhaitez poursuivre une carrière dans la fonction publique ? Tentez alors de mettre en avant vos réalisations de projets effectuées lors de vos précédentes expériences. Pas besoin également de mettre votre job étudiant en avant, à moins qu’il ait une cohérence avec votre projet professionnel actuel. Notre conseil : essayez de garder une ligne harmonieuse, montrant un vrai désir de travailler dans votre domaine et non une envie soudaine, impression que peut avoir votre recruteur si vos expériences professionnelles sont trop éclectiques.

 

4 – Mon CV doit-il s’accompagner d’une lettre de motivation ?

 

Il est vrai qu’aujourd’hui, la lettre de motivation n’apparaît pas comme essentielle aux yeux des recruteurs. Cependant, il est parfois difficile de laisser un CV seul s’exprimer. Ainsi, la lettre de motivation révèlera ce que votre curriculum vitae n’a pas été en mesure de mettre en avant. Comme il s’agit d’un exercice plus rédactionnel que l’élaboration d’un CV, vous pourrez détailler un peu plus votre goût pour votre secteur d’activité ainsi que vos qualités. Attention cependant, la lettre de motivation, au même titre que le CV, ne doit pas excéder une page ! Elle doit être un atout pour votre candidature et ne doit pas être rébarbative pour celui qui la lit. Pour être sûre de réussir cette étape de votre recherche d’emploi.

 

5 – Où puis-je diffuser mon CV ?

 

Plusieurs cas de figures peuvent encourager la pose d’un CV, que notre article “7 conseils pour organiser sa recherche d’emploi” détaille. En effet, vous pouvez directement envoyer votre CV à un employeur à la suite d’une annonce parue sur internet, ou l’envoyer en candidature spontanée. Afin de mettre toutes les chances de votre côté, n’hésitez pas à utiliser les réseaux sociaux afin de vous servir de votre réseau et bénéficier des connexions que peuvent avoir vos amis ou anciens collègues. Attention, choisissez bien le réseau sur lequel publier votre annonce ! Une plateforme comme Communauté Etoile pourra, par exemple, vous permettre de vous rendre visible auprès des recruteurs du secteur public que vous ciblez, contrairement à d’autres réseaux plus « généralistes ».